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L’hôtellerie lourdaise se met en ordre de bataille

Les professionnels se rassemblent pour aller plus haut, plus loin. Avec en filigranes le spectacle musical « Bernadette de Lourdes ». En route vers l’autre miracle…
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C’est bien connu : l’union fait la force, comme l’oignon fait la soupe. Oups, on s’égare, mais la première partie de l’assertion est vérifiée (la seconde aussi, mais elle est hors de propos).

Jusque-là, pour les Lourdais, on adhérait au GNI-Synhorcat, mais désormais la fusion du Conseil des Territoires et du CHR, ou Club des Hôteliers de Lourdes, créé début janvier 2018, ouvre de nouvelles perspectives.

Son président Hervé Jeanson revendique 95 établissements adhérents (75 hôtels représentant plus de 7.000 chambres et 20 bars-restaurants). A l’occasion de la fusion, il a rappelé que : « nous avons un mandat fort de nos adhérents qui ont poussé à cette fusion pour qu’on se fasse entendre. […] Nous avons travaillé tous ensemble, avec nos collègues et l’Office du Tourisme à identifier des cibles de destinations autour de Lourdes, socio-culturelles, pour donner des produits packagés à nos clients. L’idée, c’est que les hôtels puissent proposer à leurs clients dans leur communication commerciale, dans chaque email envoyé, tout ou partie des sélections d’offres qui seront enrichies au fil du temps. » Une volonté affirmée, donc.

Mais aussi un optimisme sous-jacent : « Il est important de dire que nous croyons en Lourdes, nous croyons au potentiel de Lourdes, nous croyons au rebond de Lourdes. Lourdes est une marque mondiale. Il faut aller de l’avant. »

En filigranes, l’annonce du spectacle musical « Bernadette de Lourdes » (lire notre article) où le CHR s’est fortement impliqué afin de créer les conditions de réalisation de cet événement majeur. Histoire que le message de Lourdes continue de s’exporter à l’international.

A Lourdes, on pourrait reprendre le titre du livre d’Anna Gavalda : « Ensemble, et c’est tout ».

 

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